| Une faille de 2 km de long, transversale au fleuve, étroite de 50m, une hauteur de 100m, un bruit qui peut s'entendre à 50km lors des crues, un nuage d'eau en suspension qui s'élève jusqu'à 500m..., voila quelques chiffres de "la brume qui gronde", nom donné aux chutes par les indigènes..., et le Zambèze n'a fait que le 1/3 de son parcours jusqu'à la mer... |
   | vue de la partie gauche des chutes, dans l'axe de la faille |
 | la Cascade, la partie la plus à gauche des chutes, mais aussi celle qui a le plus gros débit compte tenu de sa largeur |
  | les embruns de la cascade créent un arc-en-ciel permanent, et empêche de voir le fond de la gorge, pourtant profonde uniquement de 100m... |
  | à la fin de la saison sèche, depuis le centre des chutes sur la partie Zimbabwe, on entre-aperçoit la chute de la Cascade, et la partie droite est pratiquement asséchée... |
  | à partir de la rive côté Zambie, et lorsque le niveau des eaux est bas, il est possible, et sautant d'île en île, d'arriver en haut des chutes ; des trous d'eau juste avant le grand saut permettent de plonger sans crainte en faisant peur à ceux qui sont en face... |
  | à l'extrémité de la partie des chutes côté Zimbabwe, il y a l'endroit le plus étroit de la faille (moins de 50m), et l'eau commence à se faire rare à la saison basse ; coté Zambie, c'est pratiquement asséché... |